Désengagement par Fidelity
Qu’elles paraissent loin les années qui débutaient sans question sur les perspectives de croissance des États-Unis. Malgré les doutes persistants sur la santé chancelante de l’Europe ou le ralentissement chinois, la dynamique américaine avait jusqu’alors été un indéniable lot de consolation pour des investisseurs en mal d’inspiration. Si cette époque n’est pas encore révolue, elle parait néanmoins sur le déclin…
Réflexion de la semaine par J.P. Morgan
2018 a été une année difficile pour les marchés actions. Au début de l’année, la relance budgétaire aux États-Unis et la perspective d’une croissance mondiale synchronisée ont dynamisé les marchés. Cependant, les perspectives encourageantes se sont vite assombries puisque les investisseurs ont dû composer avec un relèvement des taux d’intérêt aux ÉtatsUnis, un ralentissement dans la zone euro, une érosion de la croissance chinoise et une multiplication des problèmes géopolitiques (dont le Brexit, la politique italienne et le différend commercial actuel entre les États-Unis et la Chine). T
Chronique hebdomadaire d’ODDO
Tout bien réfléchi, cette année 2019 ne sera peut-être pas aussi mauvaise sur le plan boursier que l’ambiance peut le laisser croire.
Cette réflexion peut surprendre dans un contexte dominé par les multiples incertitudes politico-économiques, qu’il s’agisse du ralentissement de la croissance mondiale, des relations sino-américaines, du Brexit, sans parler de nos gilets jaunes nationaux. Où que se tourne notre regard, le pessimisme règne. D’ailleurs, pourquoi parler de pessimisme ? C’est plutôt le réalisme qu’il faut évoquer. La preuve ?